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"Biographie: frans frengen."
"La peau." A4 fumagine sur papier
Ce dessin révèle à quoi le fumagine est capable.
Un petit chef-d'oeuvre. Uniquement échangé à une offre de valeur.
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Né dans une famille
ouvrière- mon père était maçon et ma mère tenait « De Welvaert », une épicerie où, malgré le nom tous
les bouts ont été noués aussi parce que le magasin avait l'air plus comme un CPAS « avant la lettre ».
Aussi sauver des vies humaines – que j’ai du pratiquer plus tard quelques fois-a été enseigné chez notre
parents. C’est donc Jeroen ma « performance » la plus grande -sans m’en rendre compte de l’impact si
intense, si profond de mon cœur. Jai vécu une jeunesse fantastique malgré l'incendie que j’ai
involontairement fondé à l’âge de 5.
Avec mes trois sœurs c’était une vie heureuse et pleine d'humour et de sotties dont mes élèves
plus tard dans la classe ; en racontant ; ont revécus notre délicieux espiègleries. Notre
« gouvernante » habitant chez nous- qui savait ni lire ni écrire, mais qui n’était pas tombe
sur sa langue – a été souvent victime.
L'enfance °Mechelstraat 17 à mon Londerzeel –je pratiquais de nombreux sports ; seulement j’avais peur de la baignade
comme l'eau dans la baignoire avait pour moi. (Ceci je déclare pour des raisons de sécurité, parce que
mes sœurs l’auraient reformulé en tout cas, je souhaite que tu le pourrais aussi cher Mickey.)
- était pleine d'art – tout simplement un père qui ne savait pas dessiner qu’un cheval et une
mère seulement le portrait du Cardinal Suenens. Le plus bel art-selon moi la musique- est venu
de ma mère au piano.
A 10 ans j'ai vendu mon premier dessin à un expert en art d'Anvers qui m'encourageait à continuer :
« Nous allons entendre parler de Frans ».
Étudier c’était pour moi plus jouer au football dans le jardin qu’apprendre de dessiner « une balle »
dans un livre. Quand j'étais à l'école normale on m’appelait « Frengen » c’est là où mon nom d’artiste
commence à s’expliquer. Les études de l'art étaient bien sûr inévitables, même si dans une famille
ouvrière avec 4 enfants ce n'est pas facile.
J’ai débuté avec le « Famous Artist School » de New York, le cours dans lequel j'ai pu apprécier
les commentaires des enseignants comme Al Parker, Norman Rockwell et d'autres.
Après j’ai commencé à l'étape « l’Académie » où immédiatement s'est avéré que mon âme était là,
où ma spontanéité explosait- on a même remarqué à mes couleurs la naissance de mon fils.
J ai connu beaucoup de plaisir, de divertissement et de reconnaissance, j’ai aussi reçu
le prix « Langbennprijs » pour l’élève le plus méritant de l’Académie et le summa cum laude
en peinture et en sculpture. J’y suis retourné dans un temps B(r)avo pour l'art appliqué.
Mon œuvre est venu en une collection d'un secrétaire d’état d’honneur.
J’ai trouvé ce que je devais peindre pour être sélectionné ainsi de plaire au jury.
C'est précisément cette aversion que tout était possible avec la peinture et certains événements
– par l'honnêteté ; que je sens fortement dans mon cœur ; sur l'exécution que cela pourrait
également nuire à moi-même (par exemple : minimaliser mes prix gagnés; ce que mon épouse
Lydia me déconseille fortement.)– dont je suis retombé sur mes expérimentes.
La découverte de ma nouvelle technique « fumagine » et l'exploitation de celle ci ( à Wemmel ) ouvrent
un tout nouveau monde. La peinture figurative avec une flamme est née. Unique au monde
– cela n'arrive pas tous les jours dans le pays ou on réside "sauf parfois avec beaucoup de
résonance". (en dehors de certains prix, des collectionneurs et la 2ième plaçe/250 dans un concours
International pour des maîtres Contemporains) Cela m'a fait réfléchir... et vous , Merci.
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